C’est avec une plume d’aigle que l’artiste autrichien Michael Blank dessine à l’encre de Chine sur du papier blanc. Dans ses dessins se reflète aussi bien sa propre vision de la nature que la fascination que procure la création de lieux jamais vus et qui restent encore à inventer.
L’artiste s’intéresse davantage aux énergies qui fort surgir des formes à partir du chaos et de quelque chose qui n’existe pas qu’à la simple image d’un paysage.
La tradition romantique – qui veut interpréter l’image de la nature comme image de l’âme – se prolonge ici vers un endroit qui est Vrai comme un rêve.
Dans son exposition au Cube – independent art room, Michael Blank présente aussi une vidéo dans laquelle deux lames forgées par lui-même et attachées à des cordes élastiques dansent, dansent ensemble, l’une avec l’autre, l’une contre l’autre.
La musique de fond, rythmique et suggestive, crée une atmosphère de transe.
Une partie des projets présentées dans le cadre de Vrai comme un rêve ont été réalisé durant la résidence de l’artiste au Cube – independent art room.
Vrai comme un rêve
