Pour sa première résidence au Maroc, Lucie Laflorentie envisage de multiples déplacements, à la rencontre de nouveaux territoires, de leurs habitants et des strates qui les composent.
Elle souhaite mettre à profit ce temps de recherche pour prolonger son travail sur le paysage comme expression spirituelle, et investiguer sur ses potentiels en terme de mémoire et réceptacle.
« Partir à la recherche de formes et mener l’enquête.
La notion de ruines et de monuments sont présents et visibles à Rabat. Leurs connexions au présent, et leurs cohabitations avec le vivant, m’intéressent et poseront ici une base de recherche.
Au-delà de l’expérience humaine, l’enjeux sera de nourrir mon approche sculpturale, spatiale et dessinée de la Matière. »
Lucie Laflorentie